Dans l'Antiquité, c'est par intuition que l'on avait recours au massage pour calmer les petits maux, d'ailleurs  l'application des mains sur une zone douloureuse de notre corps permet  d'obtenir une diminution de la douleur par effets analgésique. L'évolution des connaissances en anatomie, physiologie et d'une manière générale la Médecine permettent aujourd'hui de comprendre  les mécanismes de l'action du massage sur différends troubles et le pourquoi de son efficacité thérapeutique. En effet, l'action du massage génère sur notre corps une modification de la circulation sanguine, une réduction voire l'élimination de contracture musculaire, une réduction de la douleur ressentie, une stimulation des récepteurs cutanées par le toucher qui génère dans l'organisme l'émission d'hormones dites "analgésiques" comme l'endorphine pour la sensation de douleur et l'histamine qui augmente la dilation et l'irrigation sanguine ainsi que la température corporelle. Cette technique permet de traiter de nombreux troubles quotidiens tels que le mal de dos, les problèmes intestinaux, troubles de la circulation sanguine et vasculaire, problèmes de postures, troubles du système nerveux (insomnie, épuisement, douleurs d'origine centrale, spasmes etc..), troubles locomoteurs (entorses, distensions des tissus et contusions, en complément d'un kiné ou d'un ostéopathe), douleurs articulaires et musculaires. Cette technique ne s'applique pas à certaines pathologies telles  les ulcères, hémorragies, phlébites, problèmes cardiaques, etc...)